Une jolie fille fait pleurer la coiffeuse qui l’a rendue belle pour le réveillon du nouvel an

Illustration non conventionnelle

Une jolie fille aux allures de mannequin à l’abris du besoin a fait pleurer la coiffeuse qui l’a rendu coquette pour le réveillon du nouvel an après l’avoir berné par des caprices de riches, a appris Gabonactu.com auprès des témoins.

La vingtaine sonnée, la petite débarque dans un salon de coiffure à Awendje dans le 5ème arrondissement de Libreville. Son design attire les regards. Toutes les coiffeuses sont très occupées. Elle prend place et patiente. Quand son tour arrive, elle s’illustre par son goût du luxe. La propriétaire du salon pense aussi maximiser son profit sur la jeune cliente qui finit par choisir le tissage le plus cher.

Jusque-là, personne dans le salon ne soupçonne quoique ce soit. Quelques temps plus tard, la petite devient plus jolie qu’auparavant. Sa coiffure est magnifique. Il reste alors la pédicure manucure.

La petite « bourgeoise » n’apprécie pas les faux ongles qui lui sont présentés. Elle suggère alors à la propriétaire très attentionnée d’aller voir dans la boutique d’à côté. La propriétaire, une certaine Lukas, s’exécute. Mais avant de partir, Lukas demande à une coiffeuse de plonger les pieds de la cliente dans une cuvette afin de faciliter le décrassage.

La coiffeuse profite du petit moment de repris pour jeter son regard sur sa Télé Novelas préférée. Elle est captivée et se laisse emporter.

La jeune étoile passe à l’action. Elle dérobe le téléphone de la coiffeuse. Demande d’aller faire mixtion. Elle rassure la coiffeuse en lui confiant son sac. La petite reine s’en va se soulager dans les toilettes situées hors du salon.

Lukas revient avec la commande de sa cliente. Elle constate son absence. L’attente devient trop longue. Lukas fonce vers les toilettes. Il n’y a personne. La petite a glissé. Elle a filé avec le téléphone de la coiffeuse et sa belle perruque sur la tête. La petite « bourgeoise » n’est en fait qu’un escroc, une bandite.

Ce genre d’histoire n’est pas une grande première à Libreville, selon plusieurs témoignages.

Eudes Rinaldy

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