Un atelier pour lutter contre les inondations au Gabon

Le 2ème adjoint au maire de Libreville Christian Ngoua et le maire d’Akanda (nord de Libreville), Claude-Michel Sezalory sont parmi les membres des collectivités locales ayant pris part a cet atelier @ Gabonactu.com

 
Libreville, 26 avril (Gabonactu.com) – Le vice premier ministre en charge de l’urbanisme, de l’habitat social et du logement, Bruno Ben Moubamba a lancé mercredi à Libreville un atelier sur les nouvelles techniques de lutte efficace contre les inondations persistantes à Libreville et dans d’autres grandes villes du Gabon.
 
 
 
L’atelier met en exergue l’expertise  des agences intestinales spécialisées dans lutte contre les catastrophes.  Il s’agit des groupes français Grégori international et allemand Huesker. Les participants sont les techniciens des ministères de l’environnement, des infrastructures, des collectivités locales et des Organisations non gouvernementales (ONG) ainsi que des associations. Les forces des défenses et de sécurités y ont pris également part.

Bruno Ben Moubamba dénoncé l’incivisme des populations le respect de environnement, lequel incivisme constitue un phénomène favorisant les inondations @ Gabonactu.com

 
Les experts ont montré  les mécanismes devant  permettre de gérer d’une manière rationnelle les eaux produites par des pluies. Un des moyens est celui d’absorber ou  de drainer les eaux  des bassins  versants par des meilleures canalisations  vers  la mer.
 
 
Pour des experts, avec les nouvelles techniques de gestion et d’évacuations des eaux, même les quartiers sous-intégrés, potentiellement inondables ne pourront plus subir les caprices  des intempéries. «  Ce sont non constructibles mais aujourd’hui avec les qu’on a, il est très possible de rendre ces viables », a affirmé Alain Madi, expert du Groupe Huesker.
 
Parmi les séminaristes, les forces de sécurité et de défense @ Gabonactu.com

Dans son laïus,  Bruno Ben Moubamba a indiqué que : «  la problématique du changement climatique étant une réalité dans le monde entier, nous devons nous engager et prendre des décisions tangibles pour améliorer l’environnement humain, le cadre et les conditions de vie des Gabonais ».
 
 

Camille Boussoughou

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